Joyeux anniversaire, Bob Marley

Faits intéressants sur le père du reggae.

Le 6 février, Bob Marley, de son vrai nom Robert Nesta Marley, aurait fêté ses 79 ans. Né à Nine Miles en Jamaïque, le chanteur, guitariste et auteur-compositeur est considéré comme le cofondateur et le représentant le plus célèbre du reggae. Il est décédé d’un cancer à l’âge de 36 ans. Pour sa journée d’honneur, nous avons rassemblé quelques faits intéressants sur le musicien culte. 

• Selon la tradition, les derniers mots de Bob Marley furent « Money can’ t buy life. » (L’argent ne peut pas acheter la vie) 
• Il était marié à son amie d’enfance Rita et a eu quatre enfants avec elle. D’autres relations illégitimes, il a eu sept autres enfants qu’il a reconnus, mais on pense qu’il a eu au total bien plus de 40 enfants. 
• En 1967, Bob Marley se convertit du christianisme à la religion rastafari. La communauté religieuse se réfère à la Bible et enseigne la divinité de l’empereur éthiopien Haile Selassie, qui régna de 1930 à 1974.
• Son fils Rohan a lancé la marque de café « Bob Marley Coffee ». En référence aux chansons de son père, il a nommé les différents mélanges « Buffalo Soldier », « One love », « Lively up », « Get up, stand up » et « Simmer down »
• Le 14 février, le film « Bob Marley : One Love » sort dans les salles du cinémas suisses et retrace la vie de Bob Marley avec Kingsley Ben-Adir et Lashana Lynch dans les rôles principaux. 

La célèbre dynastie italienne en visite outre-mer.

Depuis le 26 juin, le Metropolitan Museum de New York présente les liens étroits qui peuvent unir la politique et l’art du portrait. Entre 1512 et 1570, des artistes aussi célèbres que Raphaël, Jacopo da Pontormo et Benvenuto Cellini peignent l’élite de Florence à une époque charnière où la ville abandonne son statut de république pour devenir un duché. Au cours de ces années où Florence vit une transformation qui touche l’idée même que l’on se fait alors de l’identité florentine, les artistes cherchent à emprunter de nouvelles voies dans l’art du portrait. Cosme Iᵉʳ de Toscane, duc de Florence, soutient à cette période des projets artistiques qui marquent l’architecture de la ville, et fait de la culture un instrument politique. La métropole toscane devient ainsi le berceau de la Renaissance, et quelques-uns des portraits les plus importants de l’histoire culturelle occidentale voient le jour. Des peintures, mais aussi des dessins, manuscrits, médailles et autres témoins de cette époque sont exposés au Metropolitan Museum. 

The Met Fifth Avenue – New York City (États-Unis)
«The Medici: Portraits and Politics, 1512−1570»
du 26 juin au 11 octobre 2021
metmuseum​.org