L’Écosse sur rails

Le WIESERGUT allie à merveille un splendide panorama et un design moderne.

Le WIESERGUT, situé à Hinterglemm en Autriche, est un lieu chargé d’histoire. Sur le site de l’hôtel se trouve la ferme Wiesern qui lui a donné son nom et dont l’histoire remonte à 1350. Avec son design puriste misant sur des matériaux naturels et des couleurs pastel, cet hôtel design se fond dans la nature environnante. On y trouve quatre catégories de suites au choix. Chacune de ses 24 suites possède un balcon ou une terrasse offrant une vue splendide sur les Alpes de la région de Saalbach Hinterglemm. Son espace bien-être avec piscine et son «privateSPA» garantissent de beaux moments de détente et son restaurant propose une cuisine slow food qui met à l’honneur les produits du domaine. 

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Des chaînes hôtelières, des complexes insulaires et des régions entières travaillent à transformer pour le mieux le monde du voyage en misant sur des concepts durables.

Il était une fois Ibiza. Mais l’autre histoire, bien plus intéressante, est celle des hippies qui, il y a un demi-siècle, profitaient ici du soleil d’Espagne, de la vie et de tout ce qui pouvait trouver place entre les deux. C’était il y a longtemps. Mais comme elle a un charme sensuel particulier qui rappelle le sel sur la peau et les pieds nus, cette histoire connaît aujourd’hui une renaissance – avec certes un style de vie d’une tout autre qualité. ll faut pas moins de six sens pour en faire l’expérience. Six Senses. L’été dernier, cette chaîne d’hôtels de luxe a ouvert dans la baie naturelle de Xarraca le premier complexe hôtelier baléare certifié BREEAM. Prononcer ce BREEAM fait appel à une technique de respiration proche de celle du OOOHM, une similitude qui d’ailleurs ne s’arrête pas là. Tout comme la syllabe sacrée des hindous, ce standard établi dans les années 80 par le Building Research Establishment britannique est la mère de toutes les procédures de certification ultérieures qui examinent en profondeur la durabilité des bâtiments.

La capitale de la Norvège est en train de se réinventer – sans faire de vagues, mais avec détermination.

Il existe quatre versions du «Cri» de Munch: deux grandes huiles et deux petits pastels – ce qui est une bonne chose, car la célèbre œuvre scandinave semble attirer les voleurs d’art tel un aimant. Il est arrivé à plusieurs reprises qu’une de ces versions tombe entre les mains de criminels avant de refaire surface quelque temps plus tard dans une chambre d’hôtel ou de revenir au musée par d’autres voies détournées. Qu’un tableau du calibre du «Cri» soit considéré comme invendable s’est avéré plus précieux que n’importe quelle mesure de sécurité. Malgré tout, depuis le dernier vol commis en 2014, une épaisse vitre blindée protège le tableau le plus connu de la série. Un nouveau musée dédié à ce trésor national vient par ailleurs d’ouvrir ses portes. Il se dresse majestueusement dans un lieu magnifique en bordure de fjord, le haut du bâtiment s’inclinant poliment. Il y a quelques semaines, Oslo fêtait l’ouverture très attendue de ce musée Munch – un écrin qu’il était grand temps d’offrir à l’œuvre du peintre. En effet, l’expressionniste peut-être le plus important de l’époque moderne ne s’est pas contenté de réaliser plusieurs versions de son légendaire crieur.