Refuge méditerranéen: Danai Beach Resort & Villas

Genève compte une nouvelle adresse luxueuse, The Woodward.

Depuis 1901, cet hôtel de style post-haussmannien construit par François Durel s’élève sur le quai Wilson avec une opulente élégance. Il vient d’être transformé et soigneusement repensé par le célèbre architecte Pierre-Yves Rochon. Ses 26 suites ont été savamment conçues, chacune arborant un design aux détails uniques. 21 suites offrent par ailleurs une vue splendide sur le lac Léman, la plus belle étant la Suite Présidentielle avec sa salle à manger privée et sa loggia à la vue panoramique sur le lac. Et si on loge somptueusement au nouveau Woodward, les plaisirs de la table et le bien-être y ont également une place de choix. Deux chefs étoilés par le guide Michelin, Joël Robuchon et Alain Verzeroli, sont aux commandes des cuisines et un splendide spa de 1’200 m² attend les clients – avec soins de la Maison Guerlain, piscine intérieure de 21 mètres, salle de sport, saunas, hammams, bains suédois et jacuzzi. 

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Des chaînes hôtelières, des complexes insulaires et des régions entières travaillent à transformer pour le mieux le monde du voyage en misant sur des concepts durables.

Il était une fois Ibiza. Mais l’autre histoire, bien plus intéressante, est celle des hippies qui, il y a un demi-siècle, profitaient ici du soleil d’Espagne, de la vie et de tout ce qui pouvait trouver place entre les deux. C’était il y a longtemps. Mais comme elle a un charme sensuel particulier qui rappelle le sel sur la peau et les pieds nus, cette histoire connaît aujourd’hui une renaissance – avec certes un style de vie d’une tout autre qualité. ll faut pas moins de six sens pour en faire l’expérience. Six Senses. L’été dernier, cette chaîne d’hôtels de luxe a ouvert dans la baie naturelle de Xarraca le premier complexe hôtelier baléare certifié BREEAM. Prononcer ce BREEAM fait appel à une technique de respiration proche de celle du OOOHM, une similitude qui d’ailleurs ne s’arrête pas là. Tout comme la syllabe sacrée des hindous, ce standard établi dans les années 80 par le Building Research Establishment britannique est la mère de toutes les procédures de certification ultérieures qui examinent en profondeur la durabilité des bâtiments.

Noël sous les tropiques, Nouvel An au soleil… Des destinations lointaines qui font rêver.

Un atoll de tous les superlatifs

Vue du ciel, l’île de Dhonakulhi est un minuscule croissant de sable blond qui s’étend langoureusement sur le bleu de l’océan Indien. Habitée jusqu’à une époque récente uniquement par la population autochtone, son ouverture au tourisme ne date que des quinze à vingt dernières années. Connue essentiellement pour la fabrication de cordages ainsi que pour sa mosquée qui porte la plus ancienne inscription rédigée dans la langue locale, le thâna, Dhonakulhi est l’un des nombreux îlots qui forment l’atoll paradisiaque d’Haa Alifu, dans la partie nord de l’archipel des Maldives. C’est aussi dans cet atoll que se trouve le point le plus élevé de tout l’archipel, le village de Faridoo, qui culmine à une altitude époustouflante de trois mètres. Pratiquement coupée du reste du monde, l’île de Dhonakulhi s’étend sur près d’un kilomètre et demi, sur environ 300 mètres en son point le plus large.